Résumé :
Collin King alias Ninjak est le meilleur agent du MI-6, un maître assassin expert en arts martiaux et extrêmement bien équipé en gadgets high-tech. Il est envoyé en mission pour traquer les Sept Ombres, un groupe secrets de maîtres shinobis et prendre le contrôle de leur organisation mais plus la mission avance et plus ses ennemis semblent avoir des liens avec son passé et son apprentissage.
Critique :
C’est la troisième fois que je lis ce tome et la seconde critique que j’écris une critique les deux premières fois le fait qu’un agent du MI-6 soit aussi un Ninja m’avait beaucoup dérangé. Pourquoi ? Comment ? Aucune réponse dans ce tome ni même dans la série. Qu’est-ce qui a changé entre ma deuxième et ma troisième lecture ? Et bien j’ai lu le tome Ninja-K qui explique comment des agents du MI-6 sont devenus des Ninja surentraînés et ça a tout changé !
Revenons en à ce premier tome où on découvre à la fois sa mission actuelle, ses débuts en tant qu’agent mais aussi certains moments de son enfance. De quoi nous montrer les différents aspects de ce personnage très mystérieux. On voit très clairement que c’est le fait que ses parents aient été des agents qui l’a poussé dans cette direction, aidé par la grande volonté de se venger du majordome qui s’occupe de lui (non sans quelques violences) en l’absence de ses parents.
Le tome est bourré d’action et propose de nombreux détails sur les différentes stratégies de Ninjak dans les différentes situations où il se trouve et même des croquis montrant certains de ses gadgets en détail.
Je trouve ça vraiment dommage de ne pas avoir les explications sur le programme Ninja du MI-6 dès le premier tome, ça m’a vraiment gâché la lecture de toute la série. En tout cas j’ai pris beaucoup plus de plaisir à lire ce tome en ayant les infos et il me tarde de relire les autres tomes de la série et refaire mes reviews.
Côté dessin, ce sont trois artistes qui oeuvrent : Clay Mann, Juan José Ryp et Butch Guice. Les trois artistes nous offrent de fantastiques planches même si j’ai toujours du mal avec la colorisation réalisée sur la plus part des travaux de Juan José Ryp.
Conclusion :
Je n’avais pas été convaincu par les deux premières lectures de ce tome parce qu’il me manquait du background pour apprécier. Depuis j’ai lu Ninja-K qui corrige ce manque et j’ai enfin vraiment pu apprécier ma lecture ! Je vous laisse, je fonce relire la suite !
Thomas.
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