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Swamp Thing - Green Hell

Dernière mise à jour : 20 mars




  • Résumé :

La Terre est dévastée, immergée dans les eaux depuis l'infinie crue qui l'y a plongé. Les quelques humains restants survivent sur une île désolée, perdue dans l'immensité de l'océan. Le Parlement réunissant la Sève, le Sang et la Nécrose a tranché, il est temps de repartir de zéro afin de lancer un nouveau cycle de vie. Pour ce faire, ils ont uni leurs pouvoirs pour créer un nouvel avatar, l'un des monstres les plus terrifiants jusqu'alors. Face à une telle créature, toute lutte est inutile... Sauf pour un soldat qui comprend l'ennemi. Qui a déjà usé des mêmes tactiques. Quelqu'un comme Alec Holland. Dommage qu'il soit mort depuis des dizaines d'années...


  • Critique :

Les trois forces régissant le monde du vivant (sève, nécrose et sang) sont à l’agonie.

Les humains et leur impact sur l’environnement les vident de leurs forces. Pour tenter de rééquilibrer le monde, sa faune et sa flore, les trois puissances décident de créer un nouvel avatar qui détruira l’Homme pour remettre à zéro l’ordre naturel des choses.

Un petit groupe de survivants va alors tenter de retrouver l’avatar de la sève, seul être pouvant empêcher ce chaos. Cet avatar, c’est Alec Holland, alias Swamp Thing. Mais Alec est décédé depuis plusieurs années déjà… Peut-être que John Constantine pourrait inverser la vapeur…


Jeff Lemire convoque les membres de la Justice League Dark dans cette histoire post-apocalyptique ou l’horreur et l’écologie ont une place importante. Rares sont les fois où Swamp Thing à le droit à sa propre histoire (tout du moins en France), ici Alec Holland à un développement dramatique des plus prenants permettant aux différents lecteurs de plonger dans ce récit sans pour autant devoir posséder un important bagage de connaissances de l’univers DC Comics. L'intégration de John Constantine comme pilier de la résolution du récit est un plus qui fera plaisir aux plus hardcores des fans de la licence horrifique de chez DC.


Au dessin, Doug Mahnke s’en sort honorablement avec un trait épais et expressif tout en développant un côté violent et gore parfaitement en accord avec ce que doit être un récit de Swamp Thing. Les combats sont durs et très graphiques. Les mises à mort jouissives et sanglantes. Mais le côté onirique de ce qu'est Swamp Thing en temps normal n'est pas en reste. En effet, les déambulations qu'Alec effectue dans sa psyché sont magnifiées par une couleur inhabituelle au récit, décrivant ainsi ce qu'est un havre de paix pour notre héros.


  • Conclusion :

En conclusion, hormis deux ou trois sorties de route un peu surprenantes (les titres Suicide Squad), le Black Label de DC continue de confirmer son statut de collection mature aux récits indépendants, mais pouvant plaire au plus grand nombre. Une bien belle et divertissante addition au catalogue !


Quentin.

 

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