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Posts de blog (487)

  • Briar Tome 1

    Résumé : Cent ans après être tombée dans un profond sommeil, Briar Rose s'éveille, et découvre avec effroi qu'en son absence, son ancien époux tyrannique a laissé leur royaume sombrer dans la misère et le chaos. Accablée par les trahisons, les lourdes prophéties, et un corps meurtri, Briar et sa bande de marginaux devront trouver la force de survivre sur ces terres désolées où la magie se meurt. Guidés par un ardent désir de vengeance, Briar et son peuple finiront-ils seulement par trouver la paix et à vivre heureux ? Critique : La rebelle au bois dormant, voici le sous-titre du premier tome de la série Briar et je l’avoue, ça a suffi à faire grimper ma hype puisque j’aime particulièrement les réécritures de contes surtout quand elles sont décalées comme c’est le cas ici. Tout le monde connaît évidemment la belle au bois dormant, et bien Briar commence de la même manière à cela près que le prince charmant a préféré la laisser endormie et se marier avec elle dans son état de sommeil permanent se disant que globalement elle le ferait moins chier comme ça. C’est d’un cynisme fou, mais j’adore ! Pendant son sommeil, le père et le mari de Briar ont eu tout le temps et le loisir de mettre à feu et à sang le royaume, chose qu’elle découvre cent ans plus tard lorsqu’une personne inconnue entreprend de la réveiller. Après une phase de réveil difficile (tu m’étonnes !), elle se met à la recherche de nourriture, mais est capturée par des marchands d’esclaves et à cette occasion fait la connaissance d’une norroise qui a tenté en vain de la sauver. C’est à partir de cet instant que la quête de réponse et de vengeance de Briar commence. J’étais hypé par ce titre et pour le coup, je n’ai pas été déçu du tout, bien au contraire. J’attendais une réécriture barrée de la belle au bois dormant et c’est bien le cas. Entre le prince qui préfère se marier à elle endormie pour être plus tranquille, le langage particulièrement familier voir fleuri de Briar qui tranche avec son statut de princesse, son apparence assez négligée et la bande de bras cassés dont elle va s’entourer pour son aventure, c’est un régal ! J’y ai d'ailleurs trouvé un peu de “Donjons et Dragons : L'Honneur des voleurs” avec un magicien du même acabit que dans le film et surtout du Donjon de Naheulbeuk (toute une époque) et c’est totalement le genre d’humour auquel j’adhère. Il me sera difficile d’en dire beaucoup plus sans tout spoiler, mais je peux au moins vous dire que les personnages sont vraiment très intéressants et attachants, que l’histoire est vraiment prenante, que l’humour est très bien dosé et que pour ne rien gâcher, le rythme est très bon, il est impossible de s’ennuyer. Si j’ai adoré le récit, le dessin lui est un peu moins ma came même si je trouve que le style de German Garcia est de ceux qui donnent du charme et une âme aux titres. Conclusion : Briar a confirmé mes attentes avec une réécriture du conte de la belle au bois dormant en version barrée. Je me suis régalé de bout en bout et il me tarde très fort d’avoir la suite ! Thomas.

  • Once upon a time at the end of the world Tome 1

    Résumé : Voilà des jours que Mezzy navigue sur sa barque de fortune, traversant des continents de plastique fondu, évitant des abysses infernaux et des geysers de feu noir. Elle n'a pas croisé âme qui vive depuis des lunes, et ses vivres sont à présent épuisés. Elle n'a maintenant d'autre choix que d'errer dans une jungle urbaine hostile où elle espère trouver de quoi se nourrir. Mais une rencontre inattendue va tout changer. Le jeune Maceo, avec lequel elle n'a rien en commun, entre soudain dans sa vie. Vaut-il mieux parcourir une planète ravagée seule, ou accompagnée ? Critique : Des comics basés sur des récits post-apocalyptiques, on nous en propose assez régulièrement et avec toutes sortes de variantes pour créer de la surprise, de la nouveauté et honnêtement, le post apocalyptique est tellement proposé à toutes les sauces que ça devient difficile de surprendre et de proposer de la nouveauté. Je ne vais pas vous le cacher, quand j’ai commencé le premier chapitre de “OUATATEOTW” (ouais les abréviations c’est pas toujours ça) j’ai failli lâcher parce qu’il m’a fallu ce temps pour comprendre sur quoi on allait. En fait, le premier chapitre sert principalement à découvrir qui est Maceo et comment il a rencontré Mezzy et cette partie est sympathique, mais ne propose rien de fou non plus. D’ailleurs, si je l’avais lu en floppie, j’aurais probablement abandonné la série et j’aurais fait une erreur. C’est lors du second chapitre que la mayonnaise prend, quand le duo Mezzy / Maceo se forme. Leur duo est tellement improbable que ça fonctionne instantanément, leurs personnalités étant totalement différentes. Petit à petit, on en apprend plus sur les personnages et leur parcours respectifs et surtout le fait que Mezzy soit visiblement pourchassée et pas par quelqu’un qui lui veut du bien… Je ne vous dirais pas qui la pourchasse, mais c’est cet élément bien particulier qui apporte le petit grain de folie de cette série et j’ai beaucoup aimé. C’est juste le dosage qu’il faut et c’est plein de détails qui viennent donner envie d’en savoir plus et de suivre la série. J’ai eu un sentiment étrange à la fin de ce premier tome à cause de mon changement d’impression en cours de lecture, mais j’ai aussi eu l’impression d’avoir à faire à une série particulière qui a tout le potentiel pour me rester en mémoire et m’apporter ce petit frisson quand j’en parlerais à quelqu’un. Concernant l’aspect graphique, j’ai adoré instantanément la couverture que je trouve sublime, mais je sais d’avance qu’elle frustrera pas mal de lecteurs qui s'attendront à trouver le même style en ouvrant le tome et ce n’est absolument pas le cas. Je ne qualifierais pas le dessin de beau, mais disons qu’il a un charme assez fou qui donne son identité au titre, et même une certaine âme. Conclusion : Once upon a time at the end of the world est un titre qui sort vraiment de l’ordinaire. Je n’ai pas accroché tout de suite, mais la relation entre les deux personnages, les antagonistes et les touches décalées de la série m’ont vraiment séduit. Quant au dessin, il apporte beaucoup au titre. Thomas.

  • Batman White Knight - Tome 1 à 3

    Tome 1 / Tome 2 / Tome 3 Tome 1 - White knight Résumé : Dans un monde où Batman est allé trop loin, le Joker doit sauver Gotham ! Le Joker, ce maniaque, ce tueur, celui que l’on surnomme le Clown Prince du Crime… si Batman, le Chevalier Noir, sombre du côté obscur, pourquoi le Joker ne pourrait-il pas sortir de sa psychose et devenir le Chevalier Blanc ? C’est ce qui arrive après qu’un traitement inédit a guéri le Joker et le fait redevenir Jack Napier : un nouveau candidat à la mairie de Gotham ! Critique : Au détour d'une énième confrontation, le Joker se voit inoculer un étrange traitement qui semble gommer sa pathologie mentale et avec elle, réduire au silence cet alter envahissant. Ressurgit alors des tréfonds, Jack Napier qui, prenant conscience des horreurs faites par son "double maléfique", est bien déterminé à tout faire pour se racheter une conduite et se faire pardonner par le peuple de Gotham. Le voici donc en course pour la Mairie. Initiative très mal encaissée par le Batman qui se voit passer du statut de protecteur de la ville à celui de justicier masqué aux dommages collatéraux aussi gargantuesques que gênants. Voici donc un titre qui rebat totalement les cartes avec brio et subtilité. Ce n'est pas tant un inversement des rôles de "méchant" et de "gentils", car ce serait réducteur et trompeur. Non il s'agit plutôt d'interroger la rédemption d'un grand Vilain et les méthodes d'un Justicier, de mettre en avant leurs ressemblances et leur complémentarité. Et j'ai adoré. J'ai adoré retrouver un titre à la Harleen, où la psyché humaine et les questionnements sociologiques sont mis au centre du récit. J'ai adoré la profondeur du récit que propose Sean Murphy, bien loin de l'utilisation de l'action à outrance que je reproche souvent aux titres des Big Two. Ici il s'agit vraiment de plonger dans l'âme de Jack Napier et de sa fascination pour Batman, de s'offusquer de l'impact de cette mutation sur les nerfs de Bruce Wayne, et de redécouvrir une Harleen Quinzel d'une justesse et d'un sens critique aussi aiguisés que des batarangs. Le personnage d'Harley Quinn est un de mes préférés dans le DCU (sûrement une petite déformation professionnelle) et le titre Harleen m'avais vraiment, vraiment scotchée. J'avais été très déçue de l'annulation de la série qui devait en découler tant j'avais adoré ce titre. Quelle n'était pas ma joie donc de découvrir dans un titre antérieur la même Harleen : attentive, perspicace, intelligente ... Son rôle dans la campagne de Napier tout comme dans la trame qui tend à se dessiner pour cette quadrilogie me paraît être un fil rouge non seulement de qualité, mais permettant de faire la part belle à un personnage trop souvent relégué au second plan. Si j'avais un petit bémol à partager, ce serait surtout sur le médium. J'ai lu le titre en version Urban Nomad et j'ai l'impression que cela m'a coupé de la beauté des planches. En effet je trouve que ce papier donne un côté beaucoup trop rétro et semble "boire" le noir ce qui enlève beaucoup à la profondeur des dessins. Je pense que je le relierais en version classique pour me faire une idée plus précise sur ce format de poche. Conclusion : Un titre qui nous propose un Joker/Napier à la Jekyll & Mister Hyde d'une subtilité sans pareil et une psychologie des personnages d'une justesse vraiment agréable. Il me tarde de lire la suite tant cette proposition alternative m'a ravie. C'est un véritable coup de coeur ! Maéva. Tome 2 - Curse of the white knight Attention ! Spoil présents dans le résumé de l'éditeur et donc dans la critique ! Résumé : Le fléau Jack Napier est de nouveau derrière les barreaux, mais la sérénité est loin d’être de retour à Gotham, et encore moins au Manoir Wayne, où Bruce peine à retrouver équilibre et sérénité. Son pire ennemi n’a pas seulement ébranlé ses convictions et sa raison d’être, il a également durablement saccagé l’image de Batman et sa légitimité aux yeux des habitants de sa ville. La disparition d’Alfred n’est pas sans séquelle non plus, bien qu’elle laisse derrière lui un héritage inattendu : le journal d’Edmond Wayne daté de 1685, premier de sa lignée à s’être installé à Gotham et adversaire d’un certain Lafayette Arkham, dont les ossements ont été récemment découvert dans la cellule du Joker. Critique : Napier n'est plus. On pourrait se dire que finalement tout est revenu "comme avant" mais non. Batman n'a jamais autant douté. Les pistes de réflexions que son meilleur ennemi lui a apportées, ont profondément ébranlé ses convictions. Quel est donc le rôle de Batman ? A-t-il vraiment contribué à rendre Gotham meilleur ? Et ... Quid de l'héritage des Wayne ? Le début de ce second opus donne de suite le ton. D'autant plus que Bruce ne peut plus compter sur son fidèle et loyal tuteur pour le guider. Tout serait-il en train de s'effondrer ? Si je devais résumer en une phrase ce titre, je dirais "tout démolir pour tout reconstruire". La mythologie même de Batman et sa profonde intrication avec la dévotion et le philantropisme des Wayne vole en éclats et on se demande bien ce qui en restera : début de la fin ou fin du début ? Il m'a fallu un petit peu plus de temps pour rentrer dans le récit cette fois-ci. Il faut dire que j'avais tellement aimé découvrir Napier que j'en étais presque agacé par ce Joker horripilant à souhait ! Pendant tout le récit je me suis demandé si Napier était vraiment disparu à jamais et ... le moindre que l'on puisse dire, c'est que Sean Murphy a bien compris l'attachement de ses lecteurs à Jack, s'amusant à jouer avec nos nerfs. Pour autant, j'ai été moins emballé par cette suite que par le premier tome. J'avoue avoir été régulièrement sortie du récit par les cassures de rythmes et de trames d'histoire progressant en parallèle. Si j'ai beaucoup apprécié le fait que l'auteur revienne sur la genèse de Gotham et ses fondateurs, ces parties m'ont souvent parue longue et j'ai eu du mal à faire le lien avec le récit principal. Mais sans nul doute cette sensation est-elle renforcée par mon peu de connaissance sur l'univers. Je ne connaissais par exemple pas du tout le personnage d'Azrael qui m'a .. ennuyé je dois l'admettre. Je me suis de nombreuses fois demandé où tout ça allait bien mener et si toutes ces digressions étaient bien indispensables. Conclusion : Vous l'aurez compris j'ai été moins emballé par ce tome 2. Mais il reste tout de même un très bon moment de lecture dont le dernier chapitre laisse à penser un final ... grandiose. Maéva. Batman knight tome 3 - Beyond the White Knight Résumé : Bruce Wayne est toujours enfermé en prison, payant pour ses exactions envers la ville de Gotham et tentant de se racheter aux yeux de ses anciens alliés. Mais il a à présent noué une relation de plus en plus forte avec son ancienne ennemie, l’ex-compagne de Jack Napier, Harleen Quinzel. Jeune maman, celle-ci est contactée par le GCPD pour l’épauler sur une affaire qui va faire remonter à la surface les souvenirs encore vivaces de son passé de criminelle. Critique : Plutôt habituée des rôles secondaires, Harley Queen prend enfin ici la place qu'elle a toujours méritée, celle de pilier, celle de façonneuse, celle qui, tout en intelligence et en subtilité, conseille aussi bien le Batman que le Joker. Au début du récit, on découvre une Harley Queen un peu dépassée. C'est qu'elle n'était pas forcément préparée à endosser le rôle de mère de l'année, et encore moins avec des jumeaux remuants qui pourraient bien tenir de leur père. Mais elle peut compter sur le soutien indéfectible d'un Bruce Wayne que l'on découvre pleins de bon sens, plus humain que jamais et profondément attaché à la jeune psychiatre. Alors que la criminalité était en baisse notable ces derniers temps, Gotham voit apparaître un nouveau criminel, semblant copier les anciennes méthodes du Joker. Harley est recrutée pour le GCPD, et contre toute attente, y trouve un second souffle en plus d'un nouveau partenaire en la personne de Hector Quimby, psychiatre lui aussi et pour le moins très interessé par elle. Cette enquête fait ressurgir beaucoup de souvenirs, et plonge notre héroïne dans une quête identitaire intense. En général j'ai un petit peu de mal à accrocher quand le récit fait des bonds entre présent et passé. Cela a tendance à m'ennuyer et à me couper totalement du récit. Mais ici, Sean Murphy livre un récit à l'image du personnage qu'il met à l'honneur : une héroïne véritablement humaine, avec ses failles et ses doutes, à laquelle il est facile de s'identifier et qui, loin d'être aussi impulsive qu'on pourrait le croire, réfléchit ses actions sur son passé commun avec le Joker et sait s'entourer de personnes de confiance pour guider ses décisions. Une Harleen enfin mise en valeur et pour laquelle j'ai toujours autant d'affection. Conclusion : Un titre pleins d'actions mais également de tendresse, où Harleen revisite son passé avec le Joker tout en essayant de se construire son identité propre dans le présent, et de réfléchir à l'avenir de ses enfants. Maéva.

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