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  • Photo du rédacteurThomas

Silent dragon

Dernière mise à jour : 12 mars



  • Résumé :

Tokyo 2063. Renjiro est le descendant d’une lignée de serviteurs du clan du Dragon noir. Dans un monde où des samouraïs métalliques et télécommandés sont utilisés pour lutter contre des tueurs augmentés dirigés par les chefs Yakuzas pour qui tout est permis. Renjiro, totalement dévoué à sa tâche va faire les frais d’un coup monté et ne pourra compter que sur l’amour et la vengeance pour s’en sortir.


  • Critique :

Je l’avoue, je me suis un peu lancé dans Silent Dragon après avoir feuilleté les planches de Leinil YU que j’ai trouvé plutôt sympas sans m’occuper du scénario. Ma dernière expérience de récit sur le Néo Japon remonte à la série Rai, une sacrée expérience ! Autant vous dire que d’emblée mes exigences ont grimpé très haut. Après une introduction un peu abrupte et déroutante, le récit démarre en nous montrant un Renjiro extrêmement dévoué et amoureux de la femme de son maître, sentiments qu’elle semble elle aussi partager. Malheureusement leur amour va couper court (si je puis m’exprimer ainsi …) suite à un coup monté contre le clan du Dragon noir.

Le récit est plutôt bien mené avec quelques rebondissements et des scènes d’action plutôt bien orchestrées mais malgré ça l'ennui s’est   Vite installé chez moi. Les chapitres s’enchainent assez vite et aboutissent à une fin me laissant grandement sur ma faim. Je ne sais pas si une suite est prévue ou en cour d’écriture mais, je l’espère parce que la fin du récit est très ouverte !

D’habitude je ne suis pas particulièrement fan des planches de Leinil Francis Yu mais là je trouve que son trait match bien avec l’ambiance Néo Japon même si je trouve que certains personnages ont des designs un peu trop proches, ce qui m’a plusieurs fois sorti du récit.


  • Conclusion :

Silent Dragon est un récit futuriste de qualité moyenne, laissant sur sa faim à cause d’une fin trop ouverte. Son intérêt se trouve surtout dans la partie graphique.

 

Thomas.





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