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Résumé : Suite au meurtre de leur père, les trois enfants Locke emménagent avec leur mère et leur oncle dans le manoir ancestral de la famille au nom pour le moins étrange, Keyhouse. Chacun tente à sa manière de prendre ses marques dans la vaste propriété et de faire face au deuil qu’ils traversent. Bode, le dernier des enfants Locke - de nature pour le moins très curieuse et imaginative - part sans cesse en exploration et ne tarde pas à découvrir que la maison de son père recèle bien des secrets. Mais quand la naïveté d’un enfant rencontre l’âme machiavélique d’un esprit vengeur, les évènements ne peuvent que déraper. Critique : Une intrigue se déroulant dans un vieux manoir, des manifestations surnaturelles, et les péripéties d’un jeune enfant inconscient du danger … les ingrédients ne sont pas s’en rappeler Shinning de Stephen King. Rien d’étonnant puisque l’auteur de cette histoire n’est autre que son fils, qui nous livre ici une histoire prenante, oscillant entre l’horrifique et le fantastique. L’atmosphère y est pesante, laissant le danger se profiler tout doucement au gré des bonds dans le passé du père et des menaces planant au dessus du manoir. Lectrice invétérée de thriller depuis de nombreuses années, il n'est donc pas étonnant que Locke & Key soit le premier comics à venir orner ma bibliothèque dans une édition - disons le en passant - vraiment magnifique. Ce que j'ai vraiment apprécié, c'est cette trame bien ficelée et riche en rebondissement et les personnages aussi attachants que torturés, laissant présager une profondeur de récit digne d’un bon roman. Cependant, j’admet que cette lecture n’est pas faite pour tout le monde : si vous aimez la légèreté et les happy end, clairement ce titre ne sera pas fait pour vous ; de même qu’il faudra pouvoir s’immerger complètement dans l’histoire sous peine de passer à côté de cette ambiance particulière qui fait tout l’attrait de la série. Côté dessin, Gabriel Rodriguez signe des planches servant particulièrement bien l’atmosphère du récit et qui lui valurent en 2011 une nomination aux Eisner Awards dans la catégorie « meilleur dessinateur/encreur ». Conclusion : Cette série est un incontournable que je conseille aux amateurs de récits horrifiques ou fantastiques riches en intrigues complexes développées sur le long terme. Note : J'ai réalisé cette review après avoir lu l'intégrale publiée en 2016 par Milady. Cette édition devient difficile à trouver mais ne vous inquiétez pas, Hi Comics va sortir une nouvelle édition de ces intégrales avec le même rendu mais en souple et avec un 4ème tome contenant les nouveaux récits. Maéva. Pour bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois, entrez le code INDEESLESBULLES lors de votre commande (valable une fois par personne même si vous avez déjà Infinity).

Tome 1 / Tome 2 / Tome 3 Tome 1 : Résumé : L'ARC-7 est une agence d'espionnage située en Angleterre. Un soir de l'année 1973, un de ses hommes, l'agent X-14 est assassiné lors d'une mission à Paris. Rapidement une enquête est lancée par l'agence afin de faire la lumière sur ce qui lui est arrivé ce soir là. Il devient vite évident que seule une personne du service pouvait savoir où le trouver à ce moment là. Velvet est l'assistante du directeur et voit donc passer l'ensemble des documents liés à l'affaire avant de les transmettre à son supérieur et un détail l'intrigue : une journée de l'agent semble être absente des archives. Elle connaissait très bien l'agent X-14, alors elle décide de mener sa propre enquête mais cette décision va la mener à sa perte puisqu'elle aussi se retrouve piégée... Critique : A force d'entendre parler de cette série, il fallait bien que je me lance et j'ai finalement profité d'une occasion pour me procurer ce tome 1. Ed. Brubaker est le roi incontesté du polar en comics et cette réputation est très largement méritée étant donné la qualité de ses récits (voir Fondu au noir et Kill or be killed entre autres). Le récit se passe donc dans les années 70, une période faste pour l'espionnage notamment grâce à la Guerre froide (1947 - 1991) mais dont il n'est pas fait mention dans ce comics. L'ambiance générale est une sorte de mélange entre un James Bond et un Jason Bourne grâce à l'espionnage, les gadgets et à l'aspect chasse à l'homme et c'est clairement pas pour me déplaire ! Les personnages sont très charismatiques, surtout Velvet avec la part de mystère qui l'entoure puisqu'au final, à part le fait qu'elle ait été agent de terrain par le passé avant de devenir l'assistante du directeur suite à une mission compliquée. Le lecteur est très vite plongé dans le feu d'action puisque celle ci est présente dès l'introduction, ce qui assure un certain dynamisme à ce titre. L'intriguue, elle, est assez prenante et propose un cliffhanger plutôt intriguant qui promet un bon moment pour le tome 2. Niveau dessin, une fois n'est pas coutume, Ed. Brubaker n'est pas aux côtés de Sean Phillips mais par Steve Epting qui nous offre des planches absolument sublimes et offrant une très belle ambiance à ce récit. Clairement, si james bond était une femme j'aimerais qu'elle ressemble à Velvet ! Conclusion : Ce premier volume de Velvet est très convaincant et donne très clairement envie de continuer et d'en savoir plus sur ce personnage énigmatique qu'est velvet. Je conseille à tous ceux qui aiment les récit d'espionnage à la sauce seventies ! Thomas. Commandez vos comics chez notre partenaire en cliquant sur la bannière ci-dessous (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog"). Pour bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois, entrez le code INDEESLESBULLES lors de votre commande (valable une fois par personne même si vous avez déjà Infinity). Tome 2 : Résumé : Velvet Templeton continue de fuir l’Arc-7 qui semble l’avoir trahi. Elle décide de brouiller les pistes en éparpillant de nombreuses pistes que ses anciens collègues iront suivre lui laissant alors le champ libre pour retourner à Londres trouver des réponses. Elle provoque l’évasion de Damian Lake, un ancien de l’agence qui pourrait avoir des informations cruciales, mais évidemment, tout ne se passera pas comme prévu. Critique : Ed Brubaker continue de développer son récit d’espionnage en poussant Velvet à se rendre à nouveau à Londres et à se jeter dans la gueule du loup. Le personnage est perdu et ne sait plus tellement à qui elle peut faire confiance ce qui la pousse à être prudente. Malheureusement elle ne le sera pas assez puisque l’une de ses actions va se retourner contre elle et la mettre dans une situation plus que délicate. Très franchement je prends un plaisir fou à lire ce récit. En effet il me rappelle assez logiquement les James Bond mais apporte quelque chose de différent. A la longue, James Bond et ce qu’il représente est un petit peu devenu cliché (attention je ne critique pas, je suis fan) et voir une femme dans ce rôle habituellement réservé aux hommes est très intéressant et très bien développé. A deux reprises on suit deux agents la poursuivant et à chaque fois ils avouent ne pas avoir soupçonné de tels talents chez cette femme qu’il pensaient être une secrétaire on ne peu plus normale qu’il leur est impossible de ne pas essayer de séduire. Le moins qu’on puisse dire, c’est que la donne change totalement. Ça contre balance très bien avec les femmes cantonnées aux rôles de James Bond girls tout justes bonnes à écarter les cuisses dès qu’elles le voient. Ici on a droit à une femme très forte, intelligente, très bonne combattante ayant une très forte confiance en elle. Mais elle ne manque pas de défauts puisque c’est aussi cette grande confiance qui va la mettre en danger. Ce récit est vraiment un modèle du genre et il me tarde de découvrir le dénouement et de savoir qui a bien pu la trahir à ce point. Au dessin c’est encore une fois Steve Epting qui s’y colle et une fois de plus son travail est extrêmement agréable à regarder. Son coup de crayon apporte une véritable ambiance à ce titre. J’aime particulièrement les jeux d’ombre qu’il nous propose et qui donne une véritable impression de gravité à cette série. Conclusion : Ce second tome enfonce le clou et conforte cette série comme un incontournable d'Ed Brubaker ! Velvet a la lourde tâche d'évoluer dans le genre "Espionnage" avec une femme comme protagoniste principal et relève ce défis avec brio. Thomas. Commandez vos comics chez notre partenaire en cliquant sur la bannière ci-dessous (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog"). Pour bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois, entrez le code INDEESLESBULLES lors de votre commande (valable une fois par personne même si vous avez déjà Infinity). Tome 3 : Résumé : L’heure n’est plus à la fuite, Velvet compte bien inverser la tendance et prendre l’avantage dans cette complexe partie d’échec. Riche d’un plan complexe à exécuter elle retourne aux états unis pour en finir mais parfois, aussi perfectionné soit-il, un plan ne se passe pas toujours comme prévu. Les découvertes qu’elle va faire vont êtres déterminantes pour son avenir. Critique : Me voilà enfin au dernier tome de velvet, une série que j’ai particulièrement aimé. Malheureusement les séries de Ed Brubaker ne sont jamais très longues mais même si on aimerait qu’elles durent deux ou trois tomes de plus, elle ont l’avantage de ne pas s’essouffler et de rester qualitatives jusqu’au bout. La trame de fond sera restée bien mystérieuse et ne vous attendez pas à la découvrir dès le premier chapitre, il faudra attendre la toute fin du tome pour enfin tout savoir et croyez moi, ça vaut le coup d’attendre ! Pendant la quasi totalité de la série on suit avec intérêt l’évolution de la situation sans jamais savoir dans quelle direction nous sommes emmenés. Le fait est que la conclusion donne dans l’historique et le scandaleux, je n’en dirais pas plus pour vous laisser la joie de la surprise mais croyez moi, j’étais sur le cul en découvrant le pot aux roses. La fin d’ailleurs reste relativement ouverte et laisse espérer de prochaines aventures pour l’héroïne et sachant qu’une seconde série Criminal est en cours, on peut rêver ! Cette saga est tellement bien orchestrée rythmée et graphique que je pense qu’elle pourrait faire une trilogie particulièrement haletante au cinéma. Il y a quelques temps j’aurais refoulé l’idée d’une série à cause du faible nombre de tomes mais après avoir vu ce que Netflix a fait avec Umbrella Academy avec ses deux petits tomes … Il y’en a marre de toujours voir des hommes dans le rôle de l’agent secret victime de complots et voir une femme prendre la place sans jamais être sexualisée est assez rafraichissant. De grands noms du comics sont adaptés et il est temps que les chefs d’oeuvre de Brubaker le soient aussi ! Conclusion : ED Brubaker a frappé fort avec cette série qui garde son attrait, son rythme et son suspense jusqu’à la fin. Si vous aimez les Thriller et que vous n’avez pas encore découvert une de ses oeuvres alors c’est une faute grave qu’il faut corriger de ce pas (Hein Maéva !?) ! Thomas. Commandez vos comics chez notre partenaire en cliquant sur la bannière ci-dessous (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog"). 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HARBINGER WARS : BLACKOUT (VOUS POUVEZ LIRE HARBINGER RENEGADE TOMES 1 ET 2 AVANT POUR AVOIR TOUS LES TENANTS ET ABOUTISSANTS MAIS CE N'EST PAS INDISPENSABLE) Résumé : Avant la fuite d’informations orchestrée par les renégats, Toyo Harada activait frénétiquement de nombreux psiotiques potentiels dans le but de gonfler les rangs de ses équipes dans le but d’assouvir sa vision du monde. Aujourd’hui en déroute, son empire s’est écroulé. Le gouvernement envoie Amanda McKee alias Livewire pour enquêter sur un centre secret de Harada appelé les « Saures ». Forcément, parmi la multitude de psiotiques activés, certains présentaient des capacités moins impressionnantes que d’autres. Jugés sans intérêt, ces psiotiques étaient alors envoyés dans ce centre. Mais aujourd’hui, ce dernier est à l’abandon et semble avoir subi une attaque, Livewire se lance alors à la recherche de ses anciens pensionnaires dans le but de les sauver. Critique : Cela faisait un certain temps que j’attendais la parution de Secret Weapons, notamment parce que Livewire y tient une place importante. Ceux qui me suivent depuis les débuts savent que j’aime particulièrement ce personnage. Alors oui, Livewire tient une place importante dans ce récit, mais non, ce n’est pas le personnage principal. Ce sont Nicole Finch, Owen Cho et Avichal Malakar, trois psiotiques aux capacités très particulière : Nicole a la capacité de communiquer avec les oiseaux, Owen peut faire apparaître n’importe quel objet, (le seul hic c’est qu’il ne maîtrise pas son pouvoir et que n’importe quel objet peut apparaître) et enfin Avichal a la capacité de se transformer en statue. J’ai véritablement adoré ces personnages qui ont des capacités vraiment particulières qui amènent des situations très drôles. Ça tranche vraiment avec les psiotiques ultra puissants qu’on a l’habitude de retrouver dans les pages des comics Valiant. Eric Heisserer, c’est le nom du scénariste de ce comics. Retenez bien ce nom puisque c’est également lui qui a réalisé les scénarios des films Harbinger et Bloodshot qui sortiront prochainement au cinéma et franchement, après la lecture de ce titre, je me dis qu’on va avoir droit à de bons films. Clairement ce comics pourrait très bien être un film tant il semble avoir été construit de la même façon. En tout cas, c'est la première impression que j’ai eu en le refermant. C’est un titre extrêmement dynamique que nous propose le scénariste avec une véritable chasse à l’homme vraiment très prenante. Le scénario est vraiment intéressant et propose des surprises vraiment très sympas et il est assez difficile de deviner son dénouement. Les personnages sont vraiment très attachants et Livewire nous est présentée d’une manière très différente puisqu'on la découvre plus touchante et sensible que par le passé. Alors effectivement elle n’est pas le personnage principal de ce titre mais Eric Heisserer étant particulièrement fan de Livewire, il a vraiment eu à coeur de proposer une autre vision du personnage et on ressent vraiment cet attrait pour elle. J’ai eu l’impression que le personnage était écrit par un de ses fans pour ses autres fans, c’est très plaisant. J’espère vraiment retrouver ces personnages dans le futur. Au dessin on retrouve Raul Allén et Patricia Martin qui avaient déjà œuvré sur le titre Eternal Warrior et qui nous proposent une fois encore de superbes planches très détaillées et dynamiques. Parlons maintenant des bonus proposés par Bliss Comics. Après un premier tome de la série X-O Manowar très bien garni à ce niveau, Bliss enfonce le clou avec Secret weapons. Au programme, un long interview du scénariste où il nous parle des films qu’il a écrit pour Valiant, de son attrait pour Livewire et où il nous explique comment il travaille. Vous retrouverez également une interview des dessinateurs qui nous expliquent et nous montrent comment ils bossent, ce qui intéressera les nombreux dessinateurs qui rêvent de travailler dans cet univers. Et bien sûr les incontournables couvertures alternatives sont bien présentes. L’ensemble est véritablement passionnant à lire ! Un grand bravo à Bliss qui est une véritable référence dans ce domaine et j’espère que cela continuera encore longtemps ! Conclusion : J’attendais très fortement ce titre et une chose est certaine, cela valait le coup de patienter. Ce récit est dans la continuité de Harbinger ou de Imperium et nous offre une nouvelle histoire axée sur les psiotiques. Vraiment je recommande très chaudement ce one shot. Thomas. Vous pouvez commander les comics Valiant chez notre partenaire et bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois grâce au lien ci-dessus (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog").

Résumé : Roy et Mac sont flics à Los Angeles mais ils rêvent de beaucoup plus que ça. Les deux compères visent ni plus ni moins que le cinéma mais, le hic c'est que leurs histoires foireuses n'intéressent personne. En attendant ils doivent trouver de l'argent rapidement pour éponger une dette contractée auprès d'un caïd local particulièrement violent. Au programme : braquage d'une maison de retraite, paris sur des matchs de robots, baby-sitting de starlettes d'Hollywood ... Critique : The fix c'est un peu comme si on mixait les films Bad boys (pour le côté policier et pour la relation entre les deux personnages) et Very bad trip (pour le côté déjanté des situations qui partent en live) ensemble. Un drôle de mélange à première vue. Mais est-ce que ça fonctionne ? Et bien oui mais pas sur moi. Le récit commence avec le braquage d'une maison de retraite par Roy et son collègue Mac, une manière de mettre le lecteur directement dans le bain. S'en suit une courte explication sur ce qui a motivé Roy à devenir un flic ripoux à l'aide d'un flashback qui nous explique que depuis son plus jeune âge il trouvait les méchants des westerns bien plus classes mais que c'est lorsqu'il a été bloqué avec sa mère dans un braquage de banque que le déclic a eu lieu. J'ai trouvé ce comics plutôt bien construit et développé que ce soit du côté du récit en lui même que du côté de l'histoire des personnages. Malheureusement j'ai décroché à la moitié du titre et ce principalement à cause d'une impression de "trop" au niveau des vannes, des insultes et autres scènes extravagantes. Je suis passé de la sensation d'une histoire de flics ratés plutôt marrante à un comics dans le quel l'auteur a voulu caser le plus d'insultes et de scènes improbables possible. C'est vraiment cet humour qui m'a perdu en cours de route et je suis sûr qu'avec un meilleur dosage j'aurais beaucoup plus apprécié. j'attendais un comics fun et barré et finalement je suis assez déçus. C'est donc un rendez-vous manqué pour moi. Je range finalement ce titre aux côtés des comics Deadpool, Quantum et woody et Badass qui privilégient finalement une grande quantité de vannes douteuses et bien lourdes à la qualité du scénario. Côté dessin c'est Steve Lieber qui oeuvre et si le dessin peut être parfois inégal au niveau des visages de certains personnages, l'ensemble est plutôt honnête et colle bien à ce type de récit. Conclusion : Si vous aimez l'humour gras à la Deadpool ou à la Quantum et woody, c'est à dire à bases de vannes douteuses et bien lourdes, ce comics est fait pour vous. Dans le cas contraire passez votre chemin. Thomas. Pour bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois, entrez le code INDEESLESBULLES lors de votre commande (valable une fois par personne même si vous avez déjà Infinity).

Résumé : Bloodshot était une arme terriblement efficace. Peut être trop. Démuni de la moindre conscience, il laissait de trop nombreuses victimes collatérales. Le Projet Rising Spirit a bien tenté de lui implanter de faux souvenirs afin de l'humaniser, lui donner un but et rendre sa précision chirurgicale mais cette manipulation n'a pas donné les résultats espérés. Perturbé par ses rêves, Bloodshot se met en tête de découvrir qui il était par le passé et souhaite s'affranchir de l'organisation qui l'a créé. Aidé par le professeur Kuretich qui était à la tête du projet, Bloodshot va s'émanciper et partir à la recherche de son ancienne vie. Critique : Suite à la lecture de la saga Bloodshot Reborn par Jeff Lemire, il me tardait de découvrir les aventures pré The Valiant du personnage. C'est en avril que Bliss Comics nous a finalement offert ce beau pavé de plus de 900 pages. Très enthousiaste au départ, mon engouement s'est quelque peu enfui après la moitié du tome, la faute à la longue partie consacrée au Hard Corps que j'ai trouvé relativement redondant. Les personnages de cette équipe ne sont pas attachants et pire encore je les trouve assez lisses. De plus, on a vraiment l'impression qu'ils font toujours la même chose. J'ai également été quelque peu lassé par la présence de nombreux chapitres déjà présents dans les intégrales Harbinger et Archer et Armstrong. Ce n'est pas un véritable défaut puisque seules les personnes qui, comme moi, ont lu la totalité du catalogue Bliss Comics rencontreront ce petit désagrément. Un sentiment d'ailleurs partagé avec l'ami Duc du tromblon. Ce n'est pas un véritable défaut puisqu' il est tout à fait logique de retrouver ces chapitres dans cette intégrale vu que Bloodshot y a une grande importance et que tout le monde ne lit pas tout Valiant. Hormis la partie consacrée au Hard Corps, le reste de cette intégrale est de bonne facture et assez intéressante. On sait enfin comment Bloodshot a pu s'enfuir du PRS et ça fait plaisir d'avoir enfin ces informations, surtout quand on a déjà lu Bloodshot Reborn et USA. Comme d'habitude vous trouverez une masse de bonus de très bonne facture à la fin du tome. Bliss Comics continue de faire office de référence française en termes de bonus. Comme souvent dans les intégrales Valiant, de nombreux artistes sont présents. Si la grande variété de styles fait quelque peu perdre en homogénéité, la qualité, elle, est bien présente. Conclusion : Cette intégrale est un indispensable pour les fans de Bloodshots. Si quelques épisodes sont clairement dispensables, l'ensemble est de bonne qualité et vous promet quelques bonnes heures de lecture. Thomas. Vous pouvez commander les comics Valiant chez notre partenaire et bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois grâce au lien ci-dessus (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog").

X-O MANOWAR INTÉGRALE 3 X-O MANOWAR TOME 2 Résumé : Après quelques années, Aric de Dacie en a eu marre de se trouver au milieu de grandes batailles et d'être obligé de se battre constamment. Il décide alors de quitter la terre pour la planète Gorin où il espère enfin trouver la paix. Malheureusement une guerre fait rage entre la nation Azure et les Cadmiums et il est contraint de s'enrôler dans le camp des premiers. Ne souhaitant plus utiliser son armure, il va devoir survivre tant bien que mal dans ce nouveau monde dans lequel il va devoir combattre. Critique : Le long et remarquable run de Robert Venditti ayant pris fin, c'est à Matt Kindt de prendre la difficile relève. Plutôt que de faire dans la continuité au risque de se prendre les pieds dans le tapis, Matt Kindt a préféré proposer une histoire différente se déroulant dans le futur. Le scénariste a alors créé un tout nouvel univers avec sa planète, ses différents peuples et ses conflits. Dès les premières pages, ce nouvel univers fait mouche, bien aidé par les magnifiques dessins de Tomas Giorello, Doug Braithwaite et Cafu. Après une courte explication de sa situation, l'intrigue principale du récit démarre avec l'enrôlement d'Aric dans l'armée de la nation Azure. J'ai particulièrement aimé l'évolution du personnage. Avant, Aric était orgueilleux et sûr de lui alors que dans ce comics, les nombreuses batailles qu'il a mené semblent l'avoir rendu prudent et désabusé. Il a laissé tout son passé derrière lui et aurait aimé pouvoir se débarrasser de l'armure mais leur lien est si fort que cela est tout simplement impossible. J'ai vraiment hâte que le personnage soit développé davantage. Rempli d'action, le scénario tient vraiment ses promesses et nous embarque littéralement jusqu'à la dernière page. Le résultat est simple, ce premier tome se dévore littéralement ! Revenons au dessin. Tomas Giorello, Doug Braithwaite et Cafu nous offrent des planches absolument magnifiques riches de nombreux détails, de superbes paysages et de couleurs chatoyantes. Un bonheur pour les yeux ! Je souhaiterais également parler de cette nouvelle édition extrêmement riche en bonus de qualité. Vous y retrouverez : -Les commentaires de Lewis LaRosa sur ses couvertures -Une interview de Doug braithwaite -Les croquis de la création du look d'Aric -Des planches commentées par l'équipe créative de Valiant -Une interview de matt Kindt -Les croquis de conception des personnages -De très nombreuses couvertures alternative -De nombreux crayonnés Il est rare de trouver autant de bonus de cette qualité accompagnés d'autant de rédactionnels ! Merci Bliss Comics ! Conclusion : Que ce soit pour le scénario, les dessins ou même des bonus proposés, ce premier tome de la nouvelle série X-O Manowar est vraiment très convainquant ! Si vous aimez déjà le personnage, vous pouvez foncer les yeux fermés. Si vous ne le connaissez pas, ce comics constitue une parfaite porte d'entrée. Thomas. Vous pouvez commander les comics Valiant chez notre partenaire et bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois grâce au lien ci-dessus (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog").

Résumé : Nous sommes en 2016 et la planète entière est devenue un enfer radioactif. Désireux de trouver une échappatoire, des chercheurs ont développé le Splitter, une machine à remonter le temps. Dès lors ils vont tenter de l'utiliser dans le but de changer le cours de l'histoire. Malheureusement les paradoxes temporels seraient susceptibles de produire un désastre plus terrible encore. En 1945, l'agent de la Royal Air force, Naomi Givens enquête sur de mystérieux évènements et leurs répercussions sur sa réalité. Critique : Avec Archangel, le romancier William Gibson nous offre son premier comics. Avec son scénario à mi chemin entre science fiction et thriller, l'auteur nous offre une uchronie ayant pour origine les bombes atomiques lancées sur Hiroshima et Nagasaki. Suite au bombardement des deux villes japonaises, les américains lancent une autre bombe sur le port de la ville russe se nommant Archangel où se trouvent Staline et sa flotte. En anéantissant les russes dès la fin de la guerre, les américains ont le champ libre pour régner sur la quasi totalité du monde. Un scénario qui fait froid dans le dos quand on se dit que cela aurait pu être identique pour nous si le président américain Harry Truman avait eu d'autres motivations. Le scénario de ce comics est particulièrement classique dans ce genre mais son point fort est de nous pousser à réfléchir sur les dérives qu'aurait pu connaitre notre monde à cause de la technologie nucléaire. on se dit alors que la guerre froide était un bien moindre mal. Mais le titre va plus loin encore puisqu'il y est également question du sabotage d'une centrale nucléaire déclenchant une réaction en chaine dans le monde entier, ce qui nous rappelle aisément Tchernobyl ou plus récemment Fukushima . C'est finalement en lisant entre les lignes que ce récit s'apprécie vraiment. Comme je le disais en introduction de ma critique , Archangel est le premier comics de William Gibso et globalement on peut dire qu'il s'en sort bien. Mais son titre possède bien un défaut majeure, en effet, l'auteur change très souvent de lieu d'action sans pour autant indiquer l'endroit en question, ce qui a pour conséquence de perdre le lecteur. Il m'a d'ailleurs fallut faire plusieurs retours en arrière pour essayer de reconnaitre les lieux ou les personnages. Niveau dessin, tois artistes oeuvrent, à savoir : Butch Guice, Alejandro Barrionuevo et Wagner Reis et autant vous le dire tout de suite, ce n'est pas ma came. D'autant plus que je trouve leurs dessins totalement inégaux. Les traits des personnages peuvent beaucoup varier d'une case à l'autre. De plus dans les chapitres 4 et 5, certaines cases sont tout bonnement immondes ! Conclusion : Si ce premier comics n'est pas parfait, William Gibson nous offre néanmoins un titre intéressant nous proposant de réfléchir à ce que pourrait être notre monde à cause du nucléaire. Il faudra simplement s'accrocher à quelques reprises pour ne pas se perdre. Thomas. Pour bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois, entrez le code INDEESLESBULLES lors de votre commande (valable une fois par personne même si vous avez déjà Infinity).

THE DELINQUENTS Résumé : À force d'emmerder toujours plus de monde lors de leurs interventions foireuses, il était prévisible qu'un jour quelqu'un chercherait forcément à se venger. Mais le plus incroyable, c'est que malgré leurs innombrables bourdes en tout genre, leur popularité ne cesse de grandir. Et c'est là qu'un individu mal intentionné va vouloir frapper dans l'espoir de les détruire. Critique : Quantum et Woody reviennent avec de nouvelles aventures dans Quantum et Woody Must Die. Cette série étant pour moi synonyme de gâchis, j'ai commencé à lire ce titre sans aucune attente. En effet, je trouve ces personnages prometteurs mais bien mal exploités. L'humour tombe trop souvent à plat et semble parfois être amené juste par nécessité. Quantum et Woody Must Die change clairement la donne à ce niveau mais pas seulement puisque le dessin y gagne également. Dans ce tome les blagues et les chutes fonctionnent enfin et ne semblent plus tirés par les cheveux. Je pense notamment à la première partie où les deux protagonistes doivent sauver le monde de la chute d'une météorite. J'ai trouvé ce chapitre très drôle et plein de bonnes idées, enfin ! La seconde partie sur la popularité des personnages est un petit peu moins comique mais ne cherche cependant pas à trop en faire. Bien sûr, tout ne devient pas parfait du jour au lendemain et certains réflexes de la première série sont encore présents mais un gros effort a été fait pour en gommer un maximum. J'espère clairement que la prochaine série continuera sur cette voie. Tome après tome j'ai critiqué les dessins qui n'étaient clairement pas à mon goût ni à ceux de beaucoup d'autres lecteurs d'après les retours que j'ai pu avoir. Et bien cela change aussi ! Cette fois ce sont Pere Pérez, Brian Level et Steve Lieben qui s'y collent et nous offrent de très bonnes planches. J'ai pour ma part une préférence pour les deux premiers chapitres réalisés par Pere Pérez qui a réalisé un superbe travail ! Conclusion : Avec un scénario plus intéressant, un humour bien moins lourd et des planches de bonne qualité, ce volume est le meilleur réalisé sur Quantum et Woody ! Thomas. Vous pouvez commander les comics Valiant chez notre partenaire et bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois grâce au lien ci-dessus (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog").

Résumé : Le Zoo de Bagdad est un zoo comme n'importe quel autre. Ses pensionnaires y vivent une vie des plus tranquilles sous les yeux des visiteurs ébahis. Zill, Noon, Safa et le petit Ali sont les quatre lions du parc animalier. Et si leur vie était seulement rythmée par la venue des gardiens avec leur nourritures et de longues siestes, cela va totalement changer. En effet, nous sommes en 2003 et la seconde guerre en Irak (également appelée Guerre du Golfe) éclate. Le début du conflit coïncide avec un bombardement massif de la ville et la destruction du Zoo, laissant ses animaux, qui pour la plupart n'ont vécu qu'en captivité, livrés à eux même. Notre petite équipe de lions va alors essayer de se familiariser avec ce nouveau monde plein de dangers. Critique : Brian K. Vaughan ne vous est probablement pas inconnu puisqu'il est à l'origine de la géniale saga Y le dernier homme dont je vous ai parlé récemment. Ici il n'est pas question d'un récit post apocalyptique mais plutôt de l'aventure d'un groupe de lions se retrouvant en liberté dans un pays en guerre. Si le scénario semble ultra basique de prime abord, il s'avère être très plaisant à lire. On suit ces quatre lions qui évoluent dans ce monde totalement inconnu et qui découvrent le potentiel de destruction de l'homme avec une immense naïveté. Ce récit basé sur une histoire vraie (le début et la fin principalement) se montre très fluide à lire, touchant et attendrissant et ce surtout grâce au lionceau qui pose de nombreuses questions et mélange maladroitement les mots. C'est lui le personnage à suivre de ce comics ! Il m'a d'ailleurs beaucoup fait penser à Simba. Les dialogues sont de qualité et les différents personnages croisés sont selon moi dignes des meilleurs personnages Disney. Brian K. Vaughan a fait de nombreuses recherches sur les faits à l'origine de son scénario. Il a notamment pris contact avec le Fonds Internationnal pour la Protection des Animaux (IFAW : www.ifaw.org) qui l'a alors mis en lien avec Mariette Hopley qui a mené la mission de sauvetage des animaux du Zoo de Bagdad en 2003. Il est également entré en relation avec des bagdadis et le 3ème régiment d'infanterie de l'armée américain qui lui ont apporté de nombreux témoignages sur les faits. Maintenant, parlons des dessins. Niko Henrichon nous offre ici de sublimes planches très détaillées et magnifiées par des teintes ocrées du plus bel effet et qui donnent une superbe ambiance à ce comics. Les animaux sont parfaitement dessinés et plutôt expressifs, ce qui n'est pas évident à faire. Conclusion : Ce titre, fait d'émotion et servi par de superbes planches est un véritable ovni dans le monde des comics mais il vous fera passer un excellent moment de lecture. En ce qui me concerne c'est un coup de coeur et je me rappellerais longtemps de ce titre. Thomas. Pour bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois, entrez le code INDEESLESBULLES lors de votre commande (valable une fois par personne même si vous avez déjà Infinity).

(Tomes simples) (Intégrale) NINJAK TOME 3 NINJAK TOME 5 Résumé : Après de longues semaines d'absence, Collin King est de retour dans le château. Alors qu'il fait de l'exercice, il se remémore des détails auxquels il n'avait pas fait attention en arrivant : un nouveau tapis avec un plis, une porte entre ouverte qui n'avait pas à l'être et surtout une forte odeur de vieux plastique. Il réalise alors que son château a été piégé. Collin a perdu sa bâtisse ainsi que tout ce qu'elle contenait mais il se rassure en se disant que ses cartes bancaires et ses différentes caches vont l'aider dans sa recherche de son poursuivant mais tout ne se passera pas comme il l'espère... Critique : La saga Ninjak touche bientôt à sa fin avec ce quatrième et avant-dernier tome. Le précédent m'avait vraiment intéressé, j'espérais donc rester sur une bonne impression. Le scénario articulé autour d'une chasse à l'homme, n'a rien de révolutionnaire, il est en revanche très bien construit puisqu'il nous propose une intrigue basée sur des faits se déroulant au début du run et qui étaient restées en suspens jusque là tout en dévoilant des informations très intéressantes sur ses parents et leurs activités. Si les premières pages sont particulièrement calmes, le rythme s'accélère très vite. J'ai beaucoup aimé le rythme proposé puisqu'il fait ressentir une sorte d'urgence et de pression ressentie par le personnage. Totalement acculé, Collin doit opérer avec rapidité et discrétion pour découvrir au plus vite qui se cache derrière cette tentative d'assassinat. Malheureusement son ennemi semble avoir patiemment préparé son coup et le retrouver va être très compliqué. Matt Kindt a entrecoupé son récit avec des flashbacks axés sur les parents de Collin, ce qui permet de faire la lumière sur ces mystérieux personnages et de casser un peu le rythme effréné du récit principal qui risquerait de lasser le lecteur. Bien délimités, ces retours en arrière permettent une meilleure compréhension de la vie de Collin. Niveau dessin, je l'avoue volontiers, c'est le premier tome qui me convainc véritablement. Diego Bernard et Alisson Rodrigues nous offrent de superbes planches avec une mention spéciale pour Diego Bernard dont j'apprécie particulièrement le travail sur les jeux de lumières et d'ombres. Conclusion : Avant dernier de la série, ce Ninjak tome 4 vous fera passer un bon moment de lecture grâce à la fluidité et à la qualité de son récit. Thomas. Vous pouvez commander les comics Valiant chez notre partenaire et bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois grâce au lien ci-dessus (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog").

Résumé : Afin d'éviter aux hommes de s'entretuer sur les champs de bataille, les Etats Unis lancent un programme visant à transformer des animaux en robots tueurs téléguidés par l'homme. Mais jugés obsolètes, le gouvernement décide de tout stopper et d'euthanasier les pauvres animaux. Le docteur qui les a dressés assiste à la scène totalement impuissante et tente de plaider leur cause mais rien n'y fait. Elle décide alors de leur laisser une chance en leur permettant de se libérer. A ce moment là commence une véritable chasse pour retrouver ces dangereux animaux. Critique : Ça faisait un certain temps qu'on me conseillait de lire Nou3, ce récit plein d'action, révolutionnaire par la construction de ses planches et rempli d'émotion. Du moins c'est ce qu'on me promettait. Je me suis donc laissé tenter par ce titre sans plus de conviction. Après tout j'aime les animaux et la SF alors après tout pourquoi pas, je ne suis pas à l'abri d'un coup de coeur. Je prends alors le livre en main et la première chose qui me frappe c'est le dessin que je trouve extrêmement inégal et franchement desservi par la colorisation très plate. Je décide alors de me focaliser sur les dialogues mais mis à par l'introduction proposant les paroles des scientifiques, des militaires ainsi que des animaux on a pas grand chose à se mettre sous la dent. Les animaux justement peuvent parler grâce aux différentes modifications faites sur eux mais n'attendez pas de longs discours spirituels puisque leur champ lexical se limite à quelques mots mal prononcés. Sur le papier c'est une très bonne idée puisque finalement cela parait logique qu'ils ne puissent pas parler aussi bien que nous, mais dans la pratique ça donne un comics ennuyeux et se lisant à vitesse grand V. Le scénario quand à lui, est intéressant mais très mal conclu si bien que je ne l'ai même pas vu arriver. Je me suis retrouvé dans la galeries de couvertures et il m'a fallut retourner en arrière pour y chercher le mot fin. J'aurais préféré un titre plus long avec une vraie conclusion. En fait, le vrai point fort de ce titre, c'est effectivement la construction de ses planches proposant de nombreux points de vues assez inédits et interessants comme des cases en trois dimensions, des vues de caméras de surveillance, des cases littéralement traversées par les animaux etc. Conclusion : Finalement, ce qui ressort de cette lecture c'est une grande déception de ne pas avoir retrouvé ce qu'on m'avait pourtant promis. Bien sûr c'est très subjectif puisque d'autres lecteurs y trouveront probablement leur compte. Thomas. Pour bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois, entrez le code INDEESLESBULLES lors de votre commande (valable une fois par personne même si vous avez déjà Infinity).

BLOODSHOT REBORN TOME 4 BLOODSHOT SALVATION TOME 1 Résumé : Alors que Bloodshot (Ray Garrison) , Tank Man, Cold Man, Viet Man, Quiet Man et Bloodhound ont réussi à s'échapper de l'île à bord d'un radeau de fortune, le Projet Rising Spirit met son plan à exécution en répandant des nanites dans New York dans le but de détruire le pays de l'intérieur, prouver l'inutilité de l'armée et enfin la remplacer grâce à son arme ultime "Deathmate". Ninjak est envoyé récupérer Bloodshot et le reste d'Unity est envoyé à New York pour tenter de régler la situation mais elle change au moment où le P.R.S active le second niveau de son plan. Critique : Vous pensiez en avoir fini avec Bloodshot après le quatrième et dernier tome de la série Bloodshot Reborn ? Et bien non, il est de retour dans Bloodshot USA et vient terminer cet arc de son histoire avec panache. Si vous avez lu mes reviews de chacun des tomes de la série Reborn, vous savez à quel point je les ai aimés. Et bien, croyez moi, avec ce one shot vous tiendrez entre vos mains le bouquet final ! Ce n'est pas compliqué, rien n'est à jeter ! Le scénario qui reprend là où le tome 4 de Bloodshot Reborn s'était arrêté est véritablement haletant, bien construit et vient parfaitement conclure ce premier arc narratif de Jeff Lemire. Le P.R.S continue de faire des siennes en cherchant ni plus ni moins à contaminer l'ensemble de la population dans le seul but de gagner en pouvoir. Bien sûr, Bloodshot et Unity vont s'inviter tel de petits cailloux dans les rouages de leur plan. Les retournements de situation sont crédibles et difficilement prévisibles par le lecteur. L'action, omniprésente de bout en bout du titre, vous fera passer un bon et rapide moment de lecture à celles et ceux qui aiment quand une histoire bouge. Autant j'ai été déçu par les conclusions de Divinity et Faith, autant là j'ai beaucoup aimé. Il me tarde de découvrir Bloodshot Salvation qui devrait arriver au second semestre 2018. PS: Surtout lisez bien le Bloodshot Reborn #0 présent à la fin du tome. Je sais que certaines personnes ne lisent pas ces petit chapitres bonus en fin de comics, mais dans le cas présent vous louperiez des informations importantes sur la suite à venir. Côté dessin, c'est au tour de Doug Braithwaite d'œuvrer et je préfère ce qu'il a fait sur ce comics que sur Ninjak. Il a réalisé un superbe travail. Conclusion : Bloodshot USA clôture à merveille la saga précédente et offre déjà des indices non négligeables sur ce que pourrait devenir la vie de Ray Garrison. Vivement le tome 1 de Bloodshot salvation ! Encore bravo à Florent de Bliss comics pour son superbe travail d'édition ! Thomas. Vous pouvez commander les comics Valiant chez notre partenaire et bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois grâce au lien ci-dessus (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog").

Le titre dont je m'apprête à vous parler est un cas particulier puisque suivant les librairies il est soit classé en comics soit en roman graphique. Résumé : En 1872, en plein territoire apache, un jeune et brave homme appelé Goyahkla perd sa famille et tout ce qui lui est cher. Suite à une vision, il rejoint le chef apache Cochise et prend la tête d'une attaque contre le village mexicain d'Azripe lors de laquelle il prouve l'étendue de son courage. Goyahkla devient alors Geronimo, le héros de tous les indiens d'Amérique du Nord. Mais ce n'est qu'un combat parmi tant d'autres. Critique : Depuis d'innombrables années et à coup de films et de livres, les apaches sont désignés comme étant de véritables bêtes sauvages massacrant les colons américains par plaisir du combat. Ce point de vue imposé entre autres par Hollywood présente une image éronnée aux américains. Mais rares sont les oeuvres présentant les faits du point de vue des apaches eux-mêmes. C'est ce qu'a voulu changer Ethan Hawke en créant un film sur le sujet. Malheureusement, proposer un tel film où les personnages principaux sont exclusivement amérindiens est compliqué et s'est vite avéré très coûteux à produire. C'est en se promenant chez Forbidden Planet avec son fils qu'il s'est dit que si un film n'était pas possible, pourquoi ne pas en faire une bande dessinée ? C'est alors qu'il a contacté le talentueux Greg Ruth. De cette collaboration est né Indeh, une magnifique oeuvre historique. Ouvrir Indeh, c'est faire un véritable voyage dans le temps. Si il n'est pas nécessaire d'être passionné d'histoire pour apprécier ce récit, les amateurs en saisiront en revanche d'avantage l'impact qu'il a. Loin de la propagande colonialiste servie par le cinéma américain, ce récit nous montre un peuple fier et puissant souhaitant garder sa liberté et protéger ses terres de l'envahisseur qui prend un peu trop ses aises. Et que fait un peuple lorsqu'il se sent menacé ? Et bien il se défend. Ce volume est un véritable bonheur à lire mais pour que l'expérience soit encore meilleure, je vous invite à le lire accompagné de musiques amérindiennes, je l'ai fais, c'est magique ! (Petit exemple : https://www.youtube.com/watch?v=R62GEsGa0JA) En parlant de magie, je ne peux terminer cette review sans vous parler du travail grandiose réalisé par le dessinateur Greg Ruth qui nous livre des planches photoréalistes entièrement en noir et blanc d'une rare beauté. Le travail sur les différents noirs est remarquable ! Si je ne devais citer qu'un défaut ce serait la traduction un peu limite par moments. Conclusion : Ce récit historique qui nous présente le peuple apache par les apaches est une véritable pépite, la fluidité des dialogues et la beauté des dessins vous feront chavirer ! Thomas. Pour bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois, entrez le code INDEESLESBULLES lors de votre commande (valable une fois par personne même si vous avez déjà Infinity).

Résumé : Gilad Anni-Padda est le Guerrier Éternel, il est au service de la terre et doit protéger les géomanciens. Il puise son immortalité dans la terre mais ne pas pouvoir mourir n'est pas aussi simple qu'on pourrait le croire. A chaque fois qu'il est vaincu, il a le droit à un moment de répit lors duquel il peut retrouver sa famille au paradis et retourner dans le monde des vivants quand il le souhaite. Le hic c'est que Gilad pense qu'il a encore beaucoup à faire et doit donc sans cesse sacrifier ses proches au détriment des vivants. Critique : Après avoir lu The Valiant et Book of Death, j'ai logiquement enchaîné avec Eternal Warrior (voir frise chronologique). C'est Robert Venditti, l'auteur du génial run sur X-O Manowar publié en intégrales qui s'est occupé de ce récit. Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'ambiance est totalement différente ! Ici, pas de récit galactique mais on est plutôt face à une véritable boucherie. En fait, pour passer de son paradis au monde des vivants, Gilad doit passer par les champs tourmentés et franchir la porte de fer. Mais un démon et son armée tentent à chaque fois de l'en empêcher et à chaque fois c'est un véritable bain de sang. L'ambiance est particulièrement sombre, parfois même à la limite de l'horrifique. Malgré le fait qu'on le croise assez régulièrement dans les divers récits de l'éditeur, personne ne s'était encore vraiment penché sur ce personnage complexe. On découvre finalement un homme souffrant constamment de devoir abandonner sa famille au paradis pour sauver la terre, c'est une véritable torture ! Beaucoup se contenteraient de passer du bon temps au paradis mais pas lui. Cette force de caractère force véritablement le respect pour ce personnage qui selon moi manquait cruellement d'image. La présence de très nombreuses scènes de combats fait que vous lirez ce volume relativement vite malgré sa taille. De nombreux artistes s'occupent des dessins avec des styles plutôt différents mais qui vont particulièrement bien ensemble. Conclusion : Si ce tome n'est pas véritablement un coup de cœur, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce comics qui nous en dévoile plus sur ce personnage complexe qu'est le Guerrier Eternel. Thomas. Vous pouvez commander les comics Valiant chez notre partenaire et bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois grâce au lien ci-dessus (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog").

FAITH TOME 3 Résumé : Lors de ses aventures en solitaire, Faith s'est aussi bien faite des amis que des ennemis. Certains de ces ennemis l'ont d'ailleurs particulièrement mauvaise que Faith les ait arrêtés. Désireux de se venger, Chris Chriswell, l'ancienne star de cinéma va réunir Dark Star, Mickey Meurtre et Sydney afin de créer une équipe de super vilains. Les Faithless sont nés ! Mais pour fonctionner, une équipe doit comporter des membres capables de s'entendre, ce qui n'est clairement pas le cas. Critique : Nous y voilà, c'est la fin de la série événement consacrée à Faith, la première super héroïne enveloppée. Cette série s'est clairement améliorée de tome en tome. On serait donc en droit de s'attendre à une fin envoyant du lourd. est-ce que c'est le cas ? Et bien je dirais que oui et non. On retrouve tout ce qui a fait le succès de ce personnage : une grande gentillesse, une certaine naïveté et surtout un goût prononcé pour la justice. Faith retrouve les personnages qui ont croisé son chemin lors des tomes précédents et qui souhaitent en découdre une bonne fois pour toutes en s'alliant. Alors évidemment, le scénario n'a rien de révolutionnaire mais il a le mérite d'être intéressant. Ce qui manque c'est une fin avec du punch avec une conclusion haletante. Malheureusement ce tome est conclu trop doucement et sans surprise. Bien sûr, le fait de savoir qu'on retrouvera le personnage dans d'autres séries comme "Faith and the future force" enlève déjà beaucoup de suspense mais il y aurait eu très largement matière à faire quelque chose de sympa. Bon, mis à part ça, comme à chaque fois, les dialogues sont bons et agrémentés de petits gags bien sympas. Ce personnage est vraiment l'un des plus attachants et rafraîchissants que j'ai pu découvrir et il me tarde de le retrouver. Finalement, les forces de Faith, ne sont pas ses diverses aventures mais bien elle même, son caractère et ses pensées. Au dessin on a droit à de superbes planches réalisées par Kate Niemczyk et Joe Eisma avec quelques pages réalisées par Marguerite Sauvage. Ce comics est très beau ! Conclusion : Je m'attendais à une fin plus dynamique et plus haletante pour Faith mais ce n'est pas vraiment le cas. Ce comics n'est pas mauvais pour autant, il possède globalement les qualités des tomes précédents mais propose une fin sans éclat. Thomas. Vous pouvez commander les comics Valiant chez notre partenaire et bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois grâce au lien ci-dessus (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog").

BLOODSHOT REBORN TOME 3 BLOODSHOT USA Résumé : Bloodshot est coincé sur une île en plein milieu du Pacific et se rend très rapidement compte qu'il n'est pas seul sur ce petit morceau de terre. En effet 5 autres Bloodshot (4 hommes et un chien) sont également présents et semblent faire face à une entité ultra puissante. Chaque jour, ces hommes et ce chien se battent et meurent face à cet ennemi redoutable puis se retrouvent à nouveau sur l'île le lendemain. Après de nombreuses années à revivre sans cesse la même chose, les hommes se sont résignés mais Ray Garrison ne compte pas en faire de même : il en est persuadé, cet ennemi a forcément une faille. Mais ce face à face va le chambouler au plus haut point ! Critique : Nous y sommes, voilà la conclusion de la série Bloodshot Reborn ! Depuis le premier volume je vous ai fait part de mes coups de cœur pour chacun des épisodes de cette superbe série. Est-ce que celui-ci fait exception ? Non, clairement non. La trame débutée dans le tome 1 continue son chemin de manière terriblement efficace sans nous faire perdre l'intérêt. Ce personnage à qui le Rising Spirit a volé sa vie est totalement dérouté depuis qu'il a retrouvé ses nanites. Il se pose de multiples questions sur ce qu'il est maintenant, ce qu'il pourrait vivre à l'avenir ainsi que ses sentiments pour Magic. Le contraste entre la machine à tuer qu'il a été, qu'il est encore aujourd'hui et cet homme fragilisé par l'amour d'une jeune femme est particulièrement prenant et intéressant à suivre. Tout au long de cette série je me suis attaché à ce Ray Garrison aux multiples facettes. Il est assez rare de tomber sur une série qui garde la même qualité de bout en bout sans avoir de coup de mou le temps d'un tomme. En tout cas c'est ma première ! Je vous ai parlé de conclusion au début de cette critique mais en fait ce tome n'en est pas vraiment une puisque l'aventure continue dans la mini série Bloodshot USA. Malgré une équipe renouvelée, les dessins sont dans le même style que celui des tomes précédents, à tel point que j'ai d'abord cru que les mêmes artistes avaient œuvré. Conclusion : Ce quatrième et dernier tome nous offre une très bonne conclusion de la série ainsi qu'un super tremplin vers la mini-série Bloodshot USA. Une de mes meilleures lectures à ce jour ! Thomas. Vous pouvez commander les comics Valiant chez notre partenaire et bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois grâce au lien ci-dessus (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog").

Tome 1 / Tome 2 / Tome 3 Tome 1 : Résumé : Il y 'a de cela dis ans, une catastrophe inexpliquée s'est déroulée : 50 km2 de la ville de Philadlphie a disparue comme happée dans une autre dimension appelée Oblivion. Dès lors, le gouvernement a mis sur pied un programme pour retrouver les disparus. Mais le temps passant, ce programme a peu à peu été abandonné. Aujourd'hui, seul Nathan Cole, un scientifique ayant mis au point une technologie permettant de voyager entre les deux dimensions, continue à aller à la recherche des survivants. Mais les survivant ont il vraiment envie de revenir sur terre ? Critique : Quand Robert Kirkman sort un nouveau titre c'est véritablement un évènement. Ces succès avec Te Walking Dead et Invincible en ont fait un des auteurs les plus en vue de l'industrie du comics. Il nous propose cette fois un titre à mi-chemin entre univers post apocalyptique et de science fiction nous proposant le meilleur des deux mondes. La force de ce comics c'est son ambiance parfaitement retranscrite dès les premières pages. Dès le départ on sait où on va et on entre directement dans le vif du sujet avec une course poursuite dans la dimension Oblivion entre Nathan Cole, un monstre et deux survivants. Imposer dès le premier chapitre une scène d'action sans aucune explication est risqué puisque ça peut perdre certains lecteurs. Mais pas de panique puisque tout ou presque des évènement conduisant aux évènements est expliqué dans le second chapitre. Le récit est particulièrement fluide à lire et de nombreuses pages sans textes vous permettront d'avancer relativement vite (pour ma part je l'ai lus en, environ 40 minutes). Le cliffhanger (suspense de fin), même si il n'est pas d'une puissance extrême, laisse quand même pas mal de choses intéressantes en suspend pour le prochain tome. Si il y a bien un domaine pour le quel j'ai eu un peu de mal avec ce comics, c'est le dessin, qui ne correspond pas du tout à ce que j'aime en temps normal. Et pourtant, après une vingtaine de pages je me suis rendu compte d'à quel point ce style collait parfaitement au récit et apportait beaucoup à l'atmosphère si particulière du titre. Je ne peux terminer cette critique sans parler du superbe coup qu'a réalisé Delcourt en nous proposant les six premiers chapitres de cette série le jour de la sortie aux US alors qu'en VO il n'ont le droit qu'à un seul chapitre ! Nous sommes donc en avance sur la VO, ce qui est assez rare pour être souligné. Chapeau Delcourt ! Conclusion : Que vous aimiez le style de Robert Kirkman ou simplement le style post apocalyptique, Oblivion Song vous ravira à coup sûr avec son ambiance aux petits oignons et sa fluidité. Et au passage, ce comics n'a aucun point commun avec le film Oblivion. Thomas. Pour bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois, entrez le code INDEESLESBULLES lors de votre commande (valable une fois par personne même si vous avez déjà Infinity). Tome 2 : Résumé : Nathan Cole doit expliquer à l’armée ce qui s’est passé et son rôle dans cette affaire. Fort logiquement il est envoyé en prison pour la faute qu’il a fait mais lorsqu’il comprend que l’armée compte se servir de sa machine comme une arme, il décide de tout faire pour les en empêcher. Malheureusement mais fort logiquement, rien ne va se passer comme prévu. Critique : Après un an d’attente voici enfin ce second tome chez Delcourt et dire que j’en attendais beaucoup est un euphémisme ! J’espérais notamment en savoir plus sur le déroulement de l’incident et mon attente a été très rapidement comblée puisque dès le départ on assiste à l’interrogatoire de Nathan Cole qui doit tout expliquer à l’armée. Une scène sous forme de flashback s’ouvre alors et nous montre plus en détail ce qui s’est passé et ce qui l’a poussé à retourner chercher des survivants. J’ai adoré cette entrée en matière qui nous permets de combler certains manques dans l’histoire avant d’aller plus loin. D’ailleurs les évènements valent-ils le coup ? Et bien pour moi la réponse est un grand oui ! Nathan est un personnage de plus en plus intéressant et il devient de plus en plus attachant. Son attitude est vraiment louable : Il regrette atrocement d’avoir causé l’incident, il souhaite clairement être puni pour ça et ne compte absolument pas s’enfuir pour éviter la prison puisqu’il pense vraiment la mériter. Malheureusement lorsqu’il entend le gradé de l’armée évoquer le fait de transformer la machine en arme sa bonne conscience reprend le dessus. Les laisser faire serait une véritable catastrophe pour tout le monde. Il doit à tout prix éviter ça ! J’aime beaucoup la droiture et la mentalité de Nathan ! L’ambiance, elle, est toujours aussi canon et puissante grâce au travail graphique de Lorenzo de Felici et d’Annalisa Leoni qui nous propose une fois de plus un travail sublime ! Il est juste dommage que le dessin de Lorenzo de Felici soit un peu inconstant et que certains personnages soient de temps en temps difficiles à reconnaître mais ce n’est rien de bien méchant. Le fin du tome est absolument inattendu et laisse présager quelque chose de plutôt dingue pour la suite et il me tarde vraiment d’avoir la suite dans un an. Conclusion : Ce second tome d’Oblivion Song est au moins aussi bon que le premier, voir meilleur encore. Si vous n’avez pas encore découvert cette série, ne tardez pas trop, la prochaine adaptation au cinéma en fera probablement un incontournable. Thomas. Pour bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois, entrez le code INDEESLESBULLES lors de votre commande (valable une fois par personne même si vous avez déjà Infinity). Tome 3 : Résumé : Nathan Cole a risqué sa vie pour protéger les habitants de Philadelphie, ce qui lui a valu de passer trois ans en prison pour ses différents actes. Fraîchement sorti, il découvre que beaucoup de choses ont changé, notamment une nouvelle organisation qui s’est occupée de continuer son travail pendant son absence. Beaucoup d’avancées ont été faites grâce à celle ci. Mais les sans visage rendent les voyages dans l’Oblivion encore plus dangereux qu’avant. Ils sont agressifs et sans pitié ! Critique : J’attendais avec impatience l’arrivée du tome trois d’Oblivion Song et me suis jeté dessus dès sa sortie. Les avis sur le net concernant la série ne sont pas forcément dithyrambiques, pointant souvent du doigt un manque d’ambition, mais en ce qui me concerne, c’est une série dont j’attends chaque tome avec gourmandise. Celui-ci commence alors que Nathan Cole sort de trois ans de prison. Le retour à la liberté est compliqué, bien que tous ses amis soient là pour l’accueillir. Son plus grand désir est de retourner dans l’Oblivion pour y retrouver son frère. C’est une attaque des Sans visage sur des membres de la nouvelle organisation qui va lui donner l’occasion d’y retourner, mais rien ne va se passer comme prévu. Ce nouveau tome vient ajouter encore plus d’intrigues et de suspense à une série déjà bien mystérieuse et le rythme est tel que vous le lirez à grande vitesse, c’est vraiment très agréable ! De nouveaux ennemis viennent autant chambouler les projets de la nouvelle organisation chargée de venir chercher des échantillons qu'à la communauté installée sur Oblivion et apporte un nouvel élan à la série, qui sans ça, aurait commencé à tourner en rond. J’adore l’univers développé par Kirkman qui semble s’inscrire dans la durée. Je doute qu’on vienne à une durée semblable à The Walking dead mais il y a de fortes chances qu’elle dure un certain temps. En tout cas je l’espère vivement. Conclusion : Ce nouveau tome vient enrichir encore un peu plus un univers déjà très riche et mettre un peu plus de suspense. J’ai pris beaucoup de plaisir à le lire et attends avec impatience la suite ! Thomas. Pour bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois, entrez le code INDEESLESBULLES lors de votre commande (valable une fois par personne même si vous avez déjà Infinity).

DIVINITY TOME 2 ETERNITY Résumé : Nous sommes en 2017 et l'ensemble de la planète est dirigé par le régime totalitaire russe. La liberté n'est qu'un lointain souvenir. Colin King, un fidèle officier des services secrets russes, ne s'y fait pas. Il a la sensation que quelque chose cloche. Il se met à la recherche d'Abram Adams qui pourrait détenir la vérité. Celui qui fut un temps appelé Divinity est le seul capable de réduire à néant ce monde oppressant. Critique : Ayant fortement apprécié les deux premiers tomes, j'avais une certaine impatience de découvrir le dernier que j'espérais épique. Au final, c'est surtout une sensation de rendez-vous manqué qui domine. La promesse d'une histoire alternative où la Russie est maître du jeu, à la manière d'un "Superman Red Son" était très tentante ! Malheureusement, j'ai la sensation que Matt Kindt a voulu trop en faire. Le récit est émaillé de différents chapitres plus ou moins courts présentant les origines de personnages créés de toute pièce pour l'occasion. Si certaines origines sont intéressantes, d'autres sont en revanche très largement superflues. Mon intérêt pour l'intrigue m'a quitté au fur et à mesure de mon avancée dans les récit pour au final ressentir une déception générale. Le fond est particulièrement prometteur mais la forme gâche tout. L'intégration de toutes les origines donne l'impression d'un récit qui traîne en longueur pour finir en deux coups de cuillère à pot. Les personnages Valiant à la sauce russe sont particulièrement badass et donnent clairement envie de se jeter sur ce comics mais ils ne suffisent malheureusement pas. Je comptais vraiment sur les dessins pour réduire ma déception mais malheureusement , mis à part quelques exceptions, ça n'a pas été le cas. Conclusion : Ce dernier tome que j'espérais comme une fin en apothéose est en fait un rendez-vous manqué. L'idée de base qui est très bonne est gâchée par l'intégration de plusieurs origines story superflues. Thomas. Vous pouvez commander les comics Valiant chez notre partenaire et bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois grâce au lien ci-dessus (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog").

QUANTUM & WOODY TOME 2 THE DELINQUENTS Résumé : La relation entre Quantum et Woody est de plus en plus compliquée. Les deux frangins n'arrêtent pas de s'engueuler. Alors que Quantum fait le nécessaire pour que Woody puisse toucher une partie de l'héritage de son père, ce dernier tente de dézinguer deux robots dans la rue d'à côté mais provoque d'importants dégâts. Quantum reproche à son frère son immaturité et lui lance le défi de se comporter en adulte au moins le temps d'une journée, ce qui est loin d'être gagné ! Rien ne va se passer comme prévu mais les différents évènements les aident à y voir plus clair sur les événements récents. Ce tome est également l'occasion de revenir sur l'accident avec le bouc et de découvrir son identité. Critique : Ce troisième tome est le dernier de la série, il clôture donc les différentes intrigues débutées dans le premier volume et je dois dire que de ce point de vue, ce tome est réussi. Mais de ce point de vue uniquement. La fin des différentes intrigues est de qualité, dommage qu'elle soit noyée au milieu d'autant de blagues tombent à plat ! La partie la plus intéressante selon moi est la partie solo du bouc dans la même veine de ce qu'on peut retrouver chez Marvel avec Groot. En fait, j'ai un gros sentiment de gâchis avec cette série ! Quelques vannes sont très bonnes, les personnages sont très attachants et certaines parties des scénarios sont intéressantes. Mais la multitude d'humour loufoque tombant à plat devient usant à la longue, heureusement que la série ne dure pas dix tomes ! Je ne suis clairement pas la cible visée puisque les équivalents (Deadpool, Harley Quinn ou Badass) ne me conviennent pas non plus. J'espère sincèrement que la prochaine série aura de meilleures vannes, le reste étant bon. Côté dessin ce n'est pas plus réjouissant même si selon moi c'est le tome le mieux lotis de la série. Le style est plutôt sympa jusqu'au #11 mais au delà ça part en vrille totale avec plusieurs styles assez spéciaux. Conclusion : Cette série est selon moi le maillon faible de l'éditeur ! Si vous aimez l'humour lourd et absurde jetez vous dessus, sinon passez votre chemin. La nouvelle série semble de bien meilleure qualité, en tout cas je l'espère. Thomas. Vous pouvez commander les comics Valiant chez notre partenaire et bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois grâce au lien ci-dessus (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog").

Résumé : Beaucoup de gens courent sans cesse après la beauté à coup de régime, de lifting ou de chirurgie. Et si il existait un moyen plus simple qui en plus vous garantirait une beauté éternelle ? Ce moyen c'est le Beauty, une maladie sexuellement transmissible que tout le monde ou presque s'arrache ! Alors qu'une grande partie de la population mondiale est atteinte, d'étranges morts sèment le doute. Deux agents du FBI enquêtent alors sur les origines de ce virus. Critique : Une beauté éternelle garantie juste avec une simple partie de jambe en l'air, il y'a plus d'une personne que ça tenterait ! C'est le contexte dans lequel se déroule ce comics. Vous avez d'un côté les pro Beauty (le nom donné à ce virus) et le l'autre, ceux qui sont contre et qui veulent stopper l'épidémie. Le scénariste nous propose un récit haletant qui nous fait suivre l'enquête des agents Vaughn et Drew sur les origines de ce virus. L'enquête, basée sur un véritable problème de notre société actuelle, est remarquablement bien construite et nous emmène dans plusieurs intrigues très intéressantes dont on ne suspecte absolument pas le dénouement. La lecture est fluide et les dialogues bien faits. On s'attache très rapidement à ce duo d'enquêteurs qui n'a pas fini d'en voir. Plus on avance et plus la pression monte avec en prime de bons retournements de situation offrant un lot de surprise bienvenue et un cliffhanger de toute beauté qui vous tiendra en haleine jusqu'au tome 2 ! Je ne connaissais pas Jeremy Haun, le dessinateur de la série, mais j'avoue que c'est une belle découverte. J'aime beaucoup son style aux décors épurés mais aux personnages détaillés et expressifs. Conclusion : The Beauty n'est visiblement pas une sortie particulièrement attendue vu que je n'en ai absolument pas entendu parler avant de voir le comics sur la table des nouveautés de mon libraire préféré. Mais c'est très clairement une belle surprise, je dirais même un coup de coeur ! Thomas. Pour bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois, entrez le code INDEESLESBULLES lors de votre commande (valable une fois par personne même si vous avez déjà Infinity).

HARBINGER INTÉGRALE HARBINGER RENAGADE TOME 2 >>> HARBINGER WARS: BLACKOUT Résumé : Suite à la chute de Toyo Harada, beaucoup de choses ont changé. Un groupe de psiotiques essaie d'activer les psiotiques potentiels facilement influençables en leur promettant un avenir radieux et des pouvoir incroyables, mais le processus étant très risqué, tous meurent dans d'atroces souffrances. Les cadavres retrouvés par-ci par là inquiètent la population. Alertés par l'affaire, Faith et AX tentent de faire la lumière sur les événements et viennent en aide à un jeune homme en difficulté, mais étant dépassés, ils doivent reprendre contact avec d'anciens membres des Renégats. Mais après avoir mené la vie dure à Harada et avoir mis en lumière ses activités, l'équipe des Renégats s'est séparée dans la tension. Ces évènements vont-ils les réunifier ? Rien n'est moins sûr ! Critique : Le moins que l'on puisse dire, c'est que depuis les événements de Harbinger, les Renégats se faisaient extrêmement discrets (mis à part Faith) ! Ayant réalisé mes premiers pas dans l'univers Valiant grâce à Harbinger, il me tardait de découvrir cette nouvelle série. Celles et ceux n'ayant pas réussi à se procurer l'intégrale de la série précédente qui devient de plus en plus difficile à trouver, verront enfin la possibilité de découvrir ce groupe de personnages. Ce premier tome de la nouvelle série nous emmène quelque temps après la fin du conflit entre les renégats et Harada. Après un bref rappel des faits (via trois pages parfaitement réalisées), le scénariste nous plonge directement dans la nouvelle intrigue, ce qui nous permet de vite découvrir les conséquences de l'altercation entre Harada et l'équipe de Stancheck qui ne sont clairement pas conformes à ce qui était espéré. La continuité est parfaitement respectée tout en laissant la possibilité à de nouveaux lecteurs de lire cette série sans avoir lu quoi que ce soit sur les Harbinger. L'action, présente dès le départ, donne une bonne indication sur le dynamisme du récit. L'ennui n'est pas possible ! Lors de la lecture, j'ai clairement senti la pression monter petit à petit jusqu'à une fin en apothéose suivie d'un moment bien plus calme mais laissant présager quelque chose de très bon au tome suivant ! L'ambiance n'a pas changé entre la série de Joshua Dysart et celle de Rafer Roberts, c'est toujours aussi sombre et terre à terre, mais elle semble encore amplifiée par des personnages encore plus meurtris par leurs récents actes et leurs conséquences. Ils en ont lourd sur la patate ! Au dessin, on retrouve Darick Robertson (The Boys) qui semble au meilleur de sa forme et nous offre de superbes planches dynamiques et pleines de détails. Conclusion : La précédente série était déjà de très grande qualité et si il est difficile de juger de la qualité de Harbinger Renegade avec un seul tome, force est de constater qu'elle démarre très très fort !!! Si vous n'avez pas eu l'occasion de vous procurer l'intégrale du run de Joshua Dysart, cette nouvelle série est un parfait point d'entrée ! Thomas. Vous pouvez commander les comics Valiant chez notre partenaire et bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois grâce au lien ci-dessus (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog").

X-O MANOWAR INTÉGRALE 2 X-O MANOWAR TOME 1 (MATT KINDT) Résumé : Aric n'a pas le temps de se remettre de ses précédentes aventures que de nouvelles menaces pointent le bout de leur nez. Aric va avoir fort à faire puisqu'il devra gérer un PDG peu scrupuleux ayant créé une série d'armures qu'il souhaite vendre aux plus offrants, combattre une création des Chasseurs d'armure menaçant de nombreux mondes et il devra enfin retrouver un vieil ennemi. Toutes ces aventures sont éprouvantes pour le roi des Wisigoths, car s' il souhaite protéger le monde contre toutes ces menaces, son plus grand désir est d'offrir une vie stable et un lieu sûr à son peuple. Notre monde a plus que jamais besoin de son champion. Critique : On y est, le run de Robert Venditti sur X-O Manowar touche à sa fin. Mais réjouissez vous puisque la nouvelle série écrite par Matt Kindt arrive dès le mois d'Avril chez Bliss Comics. En attendant, parlons un peu de ce dernier volume. Je ne vais pas tourner autour du pot, cette troisième et dernière intégrale est la meilleure des trois ! Après l'événement Armor Hunters qui était de très grande qualité grâce à sa multitude d'action et son récit de grande qualité, il était difficile de penser que la suite serait encore meilleure mais c'est bel et bien le cas. La recette est différente cette fois puisque le scénariste nous propose une alternance entre le passé d'Aric et le moment présent qui nous permet d'en apprendre plus sur la jeunesse du héros et de son armure, informations qui manquaient cruellement aux premiers volumes. Ce choix est intéressant puisque cette articulation change selon moi tout l'intérêt du lecteur. Je m'explique : Si le scénariste avait placé la jeunesse d'Aric ainsi que la genèse de l'armure au début du récit comme il est coutume de faire, le lecteur n'aurait pas ressenti un grand étonnement en les découvrant. Alors qu'en les plaçant à la fin, la surprise est totale. J'ai rarement vu un récit aussi bien construit et dynamique, c'est un régal ! L'histoire de ce personnage est prenante de bout en bout. Ce tome renferme tellement de surprises que je n'ose vous en dire plus de peur de vous spoiler. Si le récit ne souffre selon moi d'aucun défaut, le volume en lui-même, si. Cette intégrale souffre de quelques soucis d'impressions qui je pense sont plus dus à l'imprimeur qu'à nos amis de chez Bliss, mais il faut clairement qu'ils soient plus vigilants sur la qualité en sortie d'imprimerie. En ce qui concerne le dessin, je suis tombé sous le charme du travail de Seth Mann qui a réalisé un superbe travail sur X-O Manowar #0 ! Pour le reste, l'équipe est presque inchangée par rapport aux tomes précédents. Et si, en guise de conclusion, on faisait un bilan de cette saga ? Robert Venditti a eu la lourde tâche de rebooter X-O Manowar, l'un des personnages les plus emblématiques de la maison Valiant. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il a réussi haut la main. Son run, chargé d'action, de suspense et d'ennemis charismatiques deviendra je n'en doute pas un récit incontournable tant le récit est de grande qualité de bout en bout !!! Cette saga vous propose pas moins de 2152 pages à couper le souffle, de quoi vous occuper un bon moment ! Thomas. Vous pouvez commander les comics Valiant chez notre partenaire et bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois grâce au lien ci-dessus (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog").

Résumé : Nous sommes en 1948, la guerre est terminée. Revenu du front, Charlie Parish tente de faire carrière dans le cinéma en tant que scénariste. Le monde su cinéma est un univers moins rose qu'il n'y parait, les studios font leur propre lois et le gouvernement s'y infiltre dans le but de trouver des traitres à la solde des communistes. Un matin, le jeune scénariste se réveille avec une gueule de bois sans pareil et tombe sur le cadavre de Valeria Summers qui en plus d'être une amie proche, est également la star montante du studio pour le quel il travail. D'abord pris de panique, il se lance rapidement dans une enquête dont il ne soupçonne absolument pas les conséquences. Critique : Fondu au Noir (The Fade Out en VO) est l'oeuvre d'Ed Brubaker et Sean Phillips, un duo dont je vous ai déjà parlé puisqu'ils ont également réalisé Kill or be killed. Dans ce comics, l'intrigue se déroule lors de l'après guerre dans les coulisses du tournage d'un film noir qui va grandement se compliquer à la mort d'une des têtes d'affiche. Le scénariste nous propose un polar sombre dont la narration nous donne clairement l'impression de lire un roman et pas une bande dessinée. Le personnage principal de cette histoire, Charlie Parish, n'a rien d'un héros, il fume comme un pompier, c'est un véritable pilier de comptoir et est plutôt antipathique. Pour autant on s'attache quand même à ce personnage que la vie et la guerre n'ont pas épargné. Son enquête et les diverses péripéties qu'elle va lui faire vivre nous passionne littéralement. L'ambiance présente dans les pages de ce volume est absolument géniale et typique des années folles, tous les codes de cette époque sont présent, c'est un véritable régal. Ce type de titre est un pure bol d'air frais puisque totalement différent de ce que l'on trouve d'habitude dans les étagères dédiées aux comics. Sean Phillips réalise un super travail sur ce polar haletant, ses planches retranscrivent parfaitement l'ambiance de ce récit. Conclusion : Si vous aimez les polars (en roman ou bandes dessinées ) Fondu au noir est fait pour vous séduire. L'ambiance d'après guerre est remarquablement retranscrite et l'intrigue vous séduira à coup sûr ! Thomas. *Lien affilié (voir rubrique "Soutenir le blog") #Fonduaunoir #Imagecomics #CharlieParish #Cinéma #Filmnoir #Scénariste #EdBrubaker #SeanPhillips #Delcourt

(Tomes simples) (Intégrale) NINJAK TOM 2 NINJAK TOME 4 Résumé : Le MI-6 a un problème et a plus que jamais besoin de Ninjak pour le résoudre. Un certain Brasier est venu du monde des morts pour libérer Fakir, l'une des sept ombres capturées par Ninjak. L'organisation a d'abord envoyé une équipe de de 21 agents pour le le ramener mais l'opération a mal tourné puisqu'un seul membre de l'équipe en est revenu : Punk Mambo. Ninjak reçoit pour mission de la retrouver et de se rendre dans le monde des morts. Une fois sur place, tout ne va pas se passer comme prévu et un vieil ami de Ninjak ne va clairement pas arranger les choses. Critique : Ce nouveau chapitre consacré à Ninjak est très différent des deux précédents. Je les avais trouvés intéressants mais j'avoue que ce troisième est de loin mon préféré. Cette fois on ne revient pas sur les origines de Ninjak, on part dans le monde des morts. C'est un monde parallèle sombre, violent et rempli de magie. Pas le genre d'endroit où il fait bon partir en vacances ! Ce scénario est très intéressant et le récit très bien réalisé puisque Neville nous donne des informations supplémentaires sur le déroulement de la mission en faisant son rapport à ses supérieurs pendant le déroulement de l'histoire. Les informations données sont d'ailleurs très importantes pour la compréhension du récit. L'omniprésence d'action permet de ne pas s'ennuyer, la lecture de ce volume est fluide, le mieux lotis des trois volumes à mon avis. Cette nouvelle incursion dans le monde des morts (après le tome 2 de Rai) est vraiment très intéressante et permet de se familiariser avec cet univers (pour ceux qui ne le connaissent pas) avant la publication de l'intégrale consacrée à Shadowman prévue en mai 2018. Du côté du dessin, l'équipe constituée de Doug Braithwaite, Juan José Ryp, Robert Gill (Punk Mambo #0) font le travail même si ce n'est pas le style que je préfère chez l'éditeur. Conclusion : Ce troisième tome de la série est le premier à vraiment me séduire, non pas que les précédents soient mauvais mais le style de récit me parlait moins. Les personnages croisés offrent un véritable plus à ce tome, et le récit est très bien construit, vous risquez d'être conquis ! Thomas. Vous pouvez commander les comics Valiant chez notre partenaire et bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois grâce au lien ci-dessus (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog").

(Tomes simples) (Intégrale) DIVINITY TOME 1 DIVINITY TOME 3 Résumé : La mission lancée par les russes est un échec : Abram a abandonné ses deux camarades au milieu de l'espace sans aucun moyen de rentrer sur terre. Kazmir et Myshka ne savent pas quoi faire. Désespérés, il leur vient l'idée de faire comme Adam, c'est-à-dire ôter leurs casques et s'exposer à l'atmosphère de la planète. Cet acte va avoir les mêmes conséquences que pour leur camarade. Munis de nouvelles capacités incroyables, le retour sur terre est à nouveau possible. Mais les temps ont considérablement changé depuis leur départ. L'adaptation va être on ne peut plus compliquée. Critique : J'attendais avec impatience de pouvoir lire ce second tome de Divinity et j'avais beaucoup d'attentes. Ce tome commence avec les deux camarades d'Adam restés bloqués dans l'espace suite à son retour sur terre. Le scénariste se concentre sur Myshka vue brièvement dans le premier opus avec un focus sur son passé. Comme je n'avais pas lu la quatrième de couverture, ça a été une surprise : Je m'attendais à un récit centré sur Divinity. Pour autant ça n'a pas été une déception, c'est en fait intéressant et bien amené. Adam et Myshka, bien qu'ayant reçu une éducation similaire et ayant subi la même expérience, ne réagissent pas de la même façon à ce qu'ils retrouvent sur terre et cette différence va logiquement engendrer un conflit. Le scénario est de bonne facture et présente un certain intérêt, au point qu'on le dévore et que la fin arrive sans qu'on s'en rende compte. Malheureusement tout n'est pas rose: le scénario est conclu de manière expéditive et un poil trop facilement à mon goût. Je suis resté sur ma faim. Les dessins sont logiquement de la même veine que dans le tome 1 puisque issus de la même équipe. Conclusion : Malgré une fin un peu décevante, ce second tome est intéressant et plaisant à lire. Thomas. Vous pouvez commander les comics Valiant chez notre partenaire et bénéficier de Bubble Infinity offert pendant un mois grâce au lien ci-dessus (Lien affilié : voir rubrique "Soutenir le blog").